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Les Cahiers de l’Animation n°39

Nombre de jeunes qui ont manifesté ce printemps contre l’extrême droite, le racisme et la xénophobie, pour la République et la démocratie vont se retrouver, cet été, animateurs volontaires de colos et de centres de loisirs. Ils pourront faire vivre aux enfants une laïcité active, des situations de loisirs éducatives à la citoyenneté. Les enfants pourront construire la règle commune, le fonctionnement et ses modalités d’application, la respecter et la faire respecter, l’évaluer et la faire évoluer.

juillet 2002

Les Cahiers de l’Animation n°38

Dans ce numéro, Vincent Chavaroche rappelle qu’il n’y a pas lieu d’inquiéter les parents avec les constats isolés de situations de violence en CVL et qu’il s’agit pour avancer sur cette question en premier lieu de réinterroger les pratiques éducatives.
Michel Hirtz préconise une organisation de la vie quotidienne des enfants en petits groupes de vie autonome et la sociologue Claudine Sutter nous fait part de ses réflexions sur l’adolescent d’aujourd’hui et de ses attentes.
Vous trouverez également dans ce numéro un encart  » fiches photos  » proposé par le groupe d’activité audiovisuelle des Ceméa.

avril 2002

Les Cahiers de l’Animation n°37

La dimension éducative des centres de vacances et de loisirs a été réaffirmée par une loi en juillet 2001. Désormais, les organisateurs de centres de vacances et de loisirs doivent conforter leur ancrage à des valeurs sociales, de solidarité, d’égalité, de droit au loisir et aux vacances. Ils se doivent de traduire ces conceptions éducatives dans de réels projets éducatifs. Dans ce nouveau cadre, cela demande aux directeurs d’oser affirmer leur conception éducative personnelle au travers d’un projet pédagogique situé en référence au projet éducatif de leur organisateur.

janvier 2002

Les Cahiers de l’Animation n°36

Les séjours de l’été dernier ont témoigné une fois encore de la richesse des pratiques éducatives. Des exigences apportées à l’aménagement de la vie quotidienne jusqu’à l’intervention pour le bon déroulement des activités, en séjour itinérant comme en structure fixe de centre de loisirs, la place de l’animateur s’avère décisive. Diverses situations ont permis la rencontre, la découverte de l’autre, l’enrichissement et l’épanouissement individuel et collectif, l’accès à l’autonomie et la prise de responsabilité.
La formation du Bafa a peut-être besoin d’être réactualisée. Mais cette réactualisation devra éviter tout rapprochement avec les formations à l’animation professionnelle.
Il serait temps de « toiletter » les projets éducatifs, d’en préciser le sens et la durée, comme de dire à quel public ils s’adressent, dans quel cadre social et éducatif, avec quelles intentions de transformation ou d’évolution des personnes.
Des mesures concrètes, doivent être prises pour que tous les enfants quelle que soit la situation économique et le niveau culturel de leurs parents bénéficient d’activités de loisirs de qualité.

octobre 2001